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Camus (il, lui)
Camus (il, lui) @ Camus @jlai.lu
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2 yr. ago

  • À la fête du Cognac, il y a des stars : Juliette Armanet, Bob Sinclar, Charlie Winston mais aussi, une poubelle pas comme les autres. Avec ses huit ouvertures différentes, chaque déchet aura sa deuxième vie bien à lui. Pour ne pas se tromper, une trentaine de bénévoles de l'association "Les Jardins respectueux" sont là pour orienter les 24 000 festivaliers de la 24ᵉ édition de la Fête du Cognac (Charente) dans leur tri.

  • Les vacances d'été sont souvent synonymes de plage, balades, et repos... mais aussi de piqûres de méduses, d'abeilles, ou de moustiques. Des désagréments auxquels il est possible de faire face, si l'on adopte les bons gestes. Car entre les légendes urbaines, les recettes de grand-mères et les conseils trouvés sur les réseaux sociaux, difficile de savoir ce qui est vraiment efficace. France 3 Côte d'Azur a décidé de démêler le vrai du faux sur toutes ces astuces pour faire face aux bobos de l'été.

  • Merci pour le partage! Ca a l'air d'être une belle crasse

  • Un film où Virginie Efira a une romance tourmentée

    Je plaide coupable, j'ai vu beaucoup de films que j'aurais clairement ignorés si elle n'était pas à l'affiche

  • Je haut-vote parce que j'adore suivre cette discussion qui a démarré il y a un moment maintenant

  • Du Nord au Sud de la région, les agences immobilières constatent un net ralentissement des transactions. Les vendeurs ne sont plus les rois du marché, même sur le littoral

    Dans les agences immobilières de la région, de La Rochelle à Bayonne en passant par Bordeaux, la tendance est la même. Le marché a sacrément ralenti quand il n’est pas carrément à l’arrêt. « On ne pouvait pas continuer sur cette croissance exponentielle. On assiste à un retour à la normale. Mais ça nous fait un peu bizarre, je l’avoue. » L’agence de Stéphane Lalanne est spécialiste des échoppes, les maisons bordelaises, très recherchées par les acheteurs en général. Elle ne peut que reconnaître que la demande actuelle est beaucoup moins forte qu’il y a encore quelques mois. « L’année dernière, j’avais 15 sollicitations de clients chaque jour pour 20 mandats de vente. Aujourd’hui, j’ai 50 mandats et quatre demandes par jour. » La tendance s’est complètement inversée dans la capitale régionale. À La Rochelle, Cédric Fillaud, agent commercial dans l’agence Human immobilier du centre-ville, dresse le même constat. « Avant, les biens à la vente partaient en moins d’une semaine, au maximum un mois. Là, c’est plutôt trois ou quatre mois. »

    Il faut dire que partout les prix se sont envolés jusqu’à atteindre des sommets stratosphériques et plus encore sur la côte. Au Pays basque, les maisons à 700 000 euros qui s’arrachaient en quelques jours ne trouvent désormais plus preneur. « Si les gens veulent vendre, il faut qu’ils baissent leurs prix, assène Martin Hirigoyen de l’agence Donzacq immobilier. C’est monté beaucoup trop haut. Il faut arrêter d’attendre le pigeon parisien, c’est fini. » À La Rochelle, l’effet littoral qui a aimanté les urbains après la crise du Covid n’agit plus non plus. « On voyait arriver des Parisiens qui voulaient s’installer et profiter des facilités qu’offre le TGV pour aller travailler. Mais il y en a beaucoup moins », note Cédric Fillaud. Conséquence, il y a moins de spéculation et les prix s’assagissent. « On revient sur des montants équivalents à la fin 2019. » Dans la région bordelaise, la chute est un peu moins brutale. « Il y a encore des vendeurs qui veulent tenter la fourchette haute pour leur bien. Ils sont toujours sur cette dynamique, mais au bout d’un certain temps ils acceptent de baisser leur prix », note Stéphane Lalanne.

    Autre frein important aux transactions, l’augmentation des taux d’intérêt des crédits immobiliers conjuguée à une plus grande frilosité des banques vis-à-vis des emprunteurs. « Il y a beaucoup de biens qui reviennent à la vente après un refus de crédit », avance Cédric Fillaud. « Et avec la hausse des taux, d’une semaine à l’autre, les gens peuvent perdre 20 000 ou 25 000 euros sur leur financement. » Au Pays basque Martin Hirigoyen constate que « près de 70 % des crédits sont refusés. » À cette tension sur les crédits s’ajoute « la hausse du prix de la construction », selon Stéphane Lalanne. « Le coût des travaux de rénovation est devenu extrêmement élevé et il impacte les ventes. Les acquéreurs font leurs calculs et voient qu’ils ne pourront pas réaliser les transformations qu’ils souhaitent. »

  • Rester coquets tout en gérant l’eau avec parcimonie : tel est le défi des villes et villages fleuris qui sont nombreux en Alsace, une région fière de ses hameaux ornés de géraniums.

  • À la faveur du déconfinement et des envies de changement de nombreux ménages français, désireux de quitter la ville pour gagner en qualité de vie, le département de la Nièvre a lancé l’opération “Essayez la Nièvre” à l’été 2020. L’idée ? Accueillir une quarantaine de familles venues de toute la France pendant une semaine pour leur faire découvrir tout ce que le département de quelque 200 000 âmes a à leur offrir.

  • [L’impasse libérale] Depuis quarante ans, l’investissement public ne cesse de décroître en France sans que l’investissement privé ne prenne pleinement le relais. Une trajectoire inquiétante pour le futur.